Bud Spencer aux Mondiaux de natation
Bud Spencer a créé l’évènement aux Mondiaux de Natation le 1 Août, il remettait en effet quelques médailles aux athlètes !
En effet, plus connu sous le nom de Bud Spencer, Carlo Pedersoli a été un très bon nageur dans les années 50, participant à 2 olympiades sous les couleurs italiennes.
Carlo Pedersoli (ou Bud Spencer) était un nageur efficace
Bud Spencer fut également le premier nageur italien a passer sous la barre de la minute pour le 100m.
Bud Spencer aux Mondiaux en 2009
Bud Spencer fêtera ses 80 ans cette année, mais présente toujours aussi bien.
A quand le retour sur grand écran ?
Burt
Shall we dance … or sleep ???
Le film de danse est un art difficile. Ou comment raconter une histoire et faire danser ses acteurs sans sombrer dans la guimauve ? Ici tout est raté avec une belle constance.
Dance Machine
La dance machine, c’est Jennifer Lopez. Celle-ci s’imagine être une danseuse et on veut nous faire croire qu’elle peut enchainer trois tours. Or il n’en est rien. Soit la miss est filmée en gros plan de très près et donc sans ses charmants petits pieds, soit elle tourne deux fois sur elle-même, soit elle danse oui, mais aussi vite qu’un gastéropode rumatisant !
Niveau jeu, elle conservera tout le long un air constipé du plus bel effet avec une belle régularité ; l’Oscar était loin, le Razzie si près.
Richard Gere en danseur mondain : l’erreur de casting du siècle ?
Disons le tout net, le gominé Richard est ici aussi crédible en danseur que Noel Mamère ou Scwarzy en hommes politiques ! Patrick Swayze aurait été largement plus crédible mais jouer face à Jennifer Lopez et faire semblant de trouver qu’elle assure réclamait le plus grand sérieux.
Gere semble d’ailleurs à plusieurs reprises se demander ce qu’il fait là.
Rien ne nous sera épargné
Réalisation molle, interprétation approximative, numéros de dance affligeant, Jennifer Lopez, rien ne nous sera ici épargné et le ratage est au final total.
Seuls quelques seconds rôles tirent leur épingle du jeu même si leurs personnages sont de véritables stéréotypes à pattes ! Susan Sarandon elle aussi se demande bien pourquoi elle a signé pour ce film et nous pourquoi on l’a regardé.
Burt
Je préfère qu’on reste amis … devant un bon film !
Tourné en 2004 par deux coréalisateurs, voici un film sans prétentions mais diablement efficace.
Eric Toledano et Olivier Nakache livrent un film sans prétention, bien écrit, bien construit et filmé sans emphase. Un projet qui fait mouche sans en rajouter.
Rouve : le Robin avec une chaussure noire
Stavros vous a dit tout le bien qu’il pense de l’évolution de Jean-Paul Rouve, et malgré cet arrière plan Robin des Bois, plus navrant pour moi que Julie Lescaut (si c’était possible !), je partage l’avis de mon confrère.
Jean-Paul Rouve vieilli bien. Il habite son personnage et l’on se rend compte qu’il y a du Pierre Richard en lui. Le Richard de la grande époque, le personnage pathétique et comique du Grand Blond.
Ou comment Gérard Depardieu surprend encore
Quant à Gérard Depardieu, si l’on pouvait craindre le pire, il n’en est rien. Depardieu a rarement été aussi bien ces dernières années. Dans son rôle, sans virer dans le grotesque ou la caricature, le Gégé prouve qu’il reste un monstre sacré pourvu que l’on sache le gérer et qu’il ne phagocyte pas le film.
Depardieu est grand dans ce rôle pathétique, sans surjouer, il parvient à rendre crédible son personnage et la complexité de ce dernier. Oui, Depardieu est vraiment bon et beau. Il joue un séducteur et l’on y croit.
Une petite réussite, un petit film certes, mais une réussite quand même !
Burt
Roland et Justin : Roland est un con
Au pays de l’humour pas drôle, Roland (Morgan Priest) et Justin (Julien Barbier) sont des monuments.
Deux inconnus, Morgan Priest et Julien Barbier, ont décidé que Samantha était décidemment trop drôle et qu’il fallait repousser plus loin les limites du pas drôle, pari réussi autant le dire tout de suite.
Après une première tentative avortée intitulée Joint de culasse (merci à Daniel Prévost pour l’inspiration), nos deux compères récidivent avec Roland et Justin.
L’acting à son paroxisme
Les personnages sont ceux de deux paumés dont la portée autobiographique du personnage de Roland, fan de Van Damme comme « l’acteur » Morgan Priest est clairement affichée. L’humour vole aussi bas qu’une mouette neurasténique, la réalisation est plate, les décors à l’avenant et nos deux zéros se prennent à réver d’une diffusion télé sur une chaine nationale. La route sera longue et visiblement il faudra encore être patient !
Une vidéo pour vous faire une idée, attention, ceux qui s’attendent à rire vont être déçus :
http://www.dailymotion.com/video/x3imuz
Une dernière précision avant de partir, précisons que Morgan Priest (l’inoubliable Roland) dispose aussi de son site internet et ce dernier est nettement plus drôle que sa série !
Précisons également que les notes des vidéos sur Dailymotion sont l’oeuvre de ses amis tout comme les commentaires, le sieur Roland se faisant un plaisir d’effacer tout commentaire un tant soit peu négatif !
Le rôle de Roland serait donc un rôle de composition, celui d’un beauf imbu de sa personne.
L’interview exclusive Cinerama de la fine équipe
Cinerama : Quelles sont vos ambitions concernant cette série ?
Conquérir le monde.
Cinerama : Quelle est votre inspiration ? Les monty python ? Aldo Maccione ?
Bézu, les musclés, Jaques Martin et Saddam Hussein.
Cinerama : Quelle est votre préparation d'acteur pour ces rôles ?
50 suppositoires, matin, midi et soir. 10 pompes, 2 avé maria et 5 avé césar.
De l'humour pas drôle, tout est dit.
Cinerama