Cinérama


Archive de la catégorie

Liste des articles dans la catégorie Films des annees 2000.

Edito: Clap, clap, Klapisch

 

L’équipe de Cinerama vous proposera très prochaînement la critique de Paris, le dernier Klapisch.

20849542.jpg

Comme d’hab il a bénéficié d’une promo monstre. Luchini, Duris et autre Viard se sont répandus sur les plateaux télé. Comme d’hab on en a ras le cul. Mais comme d’hab on a quand même hâte d’aller dans les salles.
Pourquoi ? Car Klapish est un génie. Le génie actuel du cinéma. Mais pourra-t-il surpasser le niveau atteint par L’Auberge espagnole et sa merveilleuse suite Les Poupées russes. N’ayont pas peur des mots : il font partis des deux meilleurs films français de tous les temps. Et nous espérons que Paris soit un nouveau volet de la série.
Comment parler de Klapish sans altérer son talent ? C’est impossible. Une atmosphère, un regard et Romain Duris.

P.S. : Ok, il a aussi commis Ni pour ni contre avec Marie Gillain.

Stavros


Info cinerama: Astérix aurait bien besoin de potion magique

Cinérama vous l’annonçait , le public l’a fait. Au bout d’une semaine, on peut d’ores et déjà affirmer que le film de Thomas Langman sera bien le plantage français du siècle

Après deux semaines d’exploitation, Astérix aux Jeux Olympiques a totalisé plus de 4 millions d’entrées. C’est pas mal, mais la fréquentation est en chute libre. En deuxième semaine, seulement 1 161 497 personnes sont allées voir le navet. Avec – 57% d’entrées en quelques jours seulement, c’est un euphémisme de dire que c’est une catastrophe.
La production attend 11 millions d’entrées, 8 millions serait déjà un miracle. Les vacances scolaires, seront juge de paix.
Rappelons que de la maternelle à la terminale environ 12 millions d’enfants sont scolarisés dont la moitié en primaire. Si chaque famille, va s’emmerder au complet (papa et maman compris) devant Cornillac, ils pourraient bien effacer La Grande Vadrouille des tablettes…. Un coup de blues pour le cinéma tricolore.


Tim Burton, le diabolique réalisateur de Depp street

1163214256small.jpg

Jamais un film de Tim Burton n’aura autant divisé la critique. Un chef d’oeuvre pour les uns, une merde pour les autres. La majorité s’est raliée au premier avis. Et nous?

L’équipe de Cinérama avait hâte de découvrir le nouveau Burton/Depp. D’un côté, Tim, fabuleux réalisteur qui ne nous avait jamais déçu et ce malgré l’étrange Noël de Mr Jack. De l’autre Johnny Depp, sans doute un des meilleurs acteurs de l’histoire du cinéma. Notre voix était acquise d’avance. Rien ne pouvait arriver. Rien sauf Sweeney Todd. Certes, l’esthétique est à la hauteur de la réputation. Dire qu’elle est est lechée serait même un euphémisme, tant décor et lumière sont incomparablement exceptionnels. Burton n’a pas perdu sa patte, même s’il va falloir qu’il pense à se renouveler pour ne pas menacer le spectateur d’overdose. Les acteurs eux-aussi sont plutôt bons.

Une heure d’attente…

Mais alors me direz-vous, où est la faute?
Un scenario faible, très faible. Imaginez un post-it, et vous aurez la place d’y raconter l’intrigue. Le grand rebondissement du film, et c’est bien là son originalité, c’est qu’il n’y en a pas. Tout est prévisible, à tel point qu’on se met à imaginer ce qu’il ne va pas se passer, malgré cela, le récit réussit l’exploit de quand même nous surprendre par la platitude de la scène qui suit. Cette idée est un peu révolutionnaire, mais elle ne fait pas mouche. En cause, ce déluge sanguin, qui soulève les estomacs comme Johnny Depp les liasses de dollars. Alors, on cherche, on se dit que c’est de l’humour, qu’il y a du second degré, on finit par se culpabiliser et il devient vite impossible de prendre du plaisir. Et c’est bien là que le film s’est fourvoyé. Comme de délicieuses préliminaires sans pénétration à la fin. Même la réalisation finit par dégouter. Ce que l’on devine, c’est que les inrock et telerama vont apprécier. La fin n’est pas soignée. Une chute prévisible, et un rasage de trop qui brouille définitivement tout message. Moral, immoral ? Où est la frontière entre le bien et le mal?

Et si le génie de l’oeuvre était de nous montrer dans le n’importe quoi, le basculement vers la folie, d’une société, de notre société ? Un coup de maître.

P.S. : Alors, on n’a aimé ou on n’a pas aimé? Notre critique est à l’image du film.


Stallone se prend pour Bronson !

 Ami poète ne pars pas, suite à John Rambo, sur la qualité duquel nous avons de sacrés doutes, Stallone tournera en mars 2008 dans le remake de Death Wish. Film tourné par Michael Winner en 1974 et interprété par Charles Bronson, le film avait lancé la polémique sur l’autodéfense.

Death Wish 4

  De nombreuses suites, à l’intérêt variable, avait ensuite vu le jour valant à Charles Bronson d’incarner pour certains le type de l’américain facho.

  Stallone devrait également réaliser le film. Le scénario du premier « Justicier » était assez fin et montrait avec justesse la transformation d’un homme en un tueur miné par son désir de vengeance. Espérons que cette nouvelle version ne se rapproche pas du Justicier de New-York dans lequel « papy » Charly démastiquait du voyou à la sulfateuse par paquets de 10.

 Burt


1...678910

Poudlard Scoop |
Le Monde Magique d'Harry Po... |
HITMAN et 35 autres FLIMS |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Ma vie, Mon oeuvre
| Le D.M.J 34
| AnNa MoUgLaLiS