Killer Fish : série B kitsch mais jouissive
Bande originale disco kitsch pour une série B culte
Killer Fish fut réalisé en 1978 par l’italien Antonio Margheriti encore une fois camouflé sous le pseudonyme d’Anthony M. Dawson.
Le film devait originellement être tournée en Afrique du Sud mais des problèmes inconnus empéchèrent le projet de se réaliser et Lee Majors (L’homme qui valait 3 millards ou qui tombe à pic) également producteur du film à travers sa société Fawcett-Majors se retouve avec ce projet sur les bras et le compte en banque.
Le film est finalement tourné au Brésil grâce à des partenaires brésiliens et l’on s’oriente vers un pompage de Piranha qui révéla le réalisateur Joe Dante.
Film au casting éblouisant : Lee Majors donc, Margaux Hemingway asez sexy, Marisa Berenson adorée des intellectuels pour sa colaboration avec Kubrick, Karen Black et son strabisme, alors reine de la série B et de l’horreur, mais aussi Anthony Steffen qui fut une icône du western italien et James Franciscus habitué aux séries B.
Un casting 4 étoiles donc qui va se faire boufer par les piranhas entre quelques plans foireux d’explosions et de tempête dessinée à même la pellicule.
Du grand art !
Signalons également la très bonne B.O. disco des frères Maurizio et Guido de Angelis qui, du western à la comédie, touchèrent à tous les genres du bis italien et laissèrent des musiques cultes aisément identifiables pour les fans.
Barack Obama au cinéma ?
A quand un film sur Barack Obama, sa vie et son ascension ?
Nous pensons très fortement à Cinerama que cela ne saurait tarder, au moins en téléfilm dans un premier temps.
W., le film d’Oliver Stone, premier métrage consacré à un Président en exercice, vient de changer la donne et les ententes soulevées par l’élection d’Obama à la Maison Blanche seraient de natures à favoriser un tel projet.
Quel acteur pour incarner Obama ?
Question difficile, mais dans le cas d’une adaptation au cinéma, Denzel Washington, excellent acteur, semble tout indiqué.
Jugez plutôt :
Mickey Rourke, l’ami des bêtes
Nous vous parlions il y a peu de ses frasques, voici donc Mickey Rourke dans ses oeuvres, sur le tapis rouge de la Mostra de Venise, accompagné de Loki, son chien.
Loki étant agé de 16 ans, Mickey veut passer le plus de temps possible avec son compagnon qui, contrairement à certains, ne l’a pas abandonné lorsqu’il a eu moins de succès.
La véritable identité de Mickael Vendetta révélée
Scoop pour Cinerama
L’identité de Mickael Vendetta, le « phénomène » dont nous parlions ici-même, est enfin révélée, il s’agit de Mickael Adon de son vrai nom.
La preuve ici.
Le pro de la « mythossitude »
Visiblement l’avenue Foch dans laquelle il dit habiter est également une invention, ce curieux personnage habitant en fait chez ses parents à Groslay (95), dans la banlieue parisienne.
Signalons également que le BAC ES qu’il a soutenu ne signifie pas « économique et sociologie » comme il le dit lui-même mais plutôt « économique et social » !
Contrairement à certains site nous ne donnerons pas ses coordonnées précises, là n’est pas notre rôle et l’investigation a ses limites.
Chroniques d’un raté
Par contre, de nombreux témoignages de personnes l’ayant cotoyé durant sa scolarité ou sa recherche d’emploi font état d’une personne imbue de sa personne et très sure d’elle, ce qui semble démentir le fait que Mickael Vend des tas soit un acteur mais plutôt un narcissique mythomane.
Savez-vous pourquoi monsieur a autant de compte facebook et autant d’ »amis » ? Simplement parce que c’est lui, visiblement travailleur acharné, qui les ajoute à la sueur de sa sourie. Et si tout le monde maintenant effaçait Mickael Vienetta ?
Néanmoins, Trendy Prod semble bien exploiter sa crédulité en le ridiculisant dans sa « Bogosse Life » (sa téléréalité sur Internet), enchainant les passages consternants dans lesquels moooosieur enchaine les aphorismes meurtriers quand il n’est pas filmé en train de promener son chien dans une banlieue qui n’a visiblement rien à voir avec les prestigieux quartiers de la capitale.
Cinerama prévoit encore une légère célébrité à Mickael Vend des tasses avant que ce dernier ne retombe dans l’anonymat en 2009, remplacé par un nouveau produit jetable Trendy Prod.
Voilà qui fait de plus en plus pencher la balance du côté du canular vaseux même s’il est quasiment acquis à ce stade que monseur croit à ce qu’il dit.
Malheureusement.
Une fois de plus, l’Univers et la connerie humaine restent insondables.